L’eau est un élément vital pour nos activités et est nécessaire à la fabrication de nos produits. En tant que leader de la fabrication durable, nous nous engageons à réduire notre consommation d’eau et nous nous sommes fixé comme objectif pour 2030 de réduire de 25 % la quantité d’eau consommée par tonne de production et de mettre en œuvre des plans de gestion de l’eau basés sur le contexte dans nos usines.

 

 

Gestion de l’eau

 


Nous nous procurons de l’eau à partir de trois sources principales : les eaux de surface, les eaux souterraines et les fournisseurs tiers (municipalités locales). Parce que nous dépendons de la disponibilité de l’eau dans toutes les régions, nous nous engageons dans des efforts de réduction de la consommation d’eau afin de soutenir des écosystèmes résilients.

Nous utilisons de l’eau tout au long du processus de fabrication du papier et nous en retournons environ 95 % dans le bassin hydrographique local. Les 5 % restants s’évaporent au cours de notre utilisation ou restent sous forme de teneur en humidité dans notre pâte et notre papier. Pendant le processus de fabrication du papier, l’eau peut être réutilisée jusqu’à 10 fois avant de la traiter et de la rejeter. Pour atteindre nos objectifs de réduction pour 2030, nous continuerons à chercher des moyens d’améliorer l’efficacité, le recyclage et les processus de traitement de l’eau.
 

 

Partenariats en action


Nous travaillons avec le Fonds mondial pour la nature sur le projet Mogi Guacu Roots afin de promouvoir la restauration des sources et des zones riveraines prioritaires dans le bassin de la rivière Mogi Guacu, dans la région de la forêt atlantique. La perte importante de la couverture forestière dans la région a contribué à une sécheresse sévère, affectant l’approvisionnement en eau potable et la disponibilité stable pour les utilisateurs industriels, y compris Sylvamo.

Le projet a démarré en 2018 avec des phases initiales axées sur la mobilisation des propriétaires fonciers et des producteurs ruraux pour qu’ils s’engagent dans le processus de restauration en s’alignant sur une vision commune de la restauration pour le bassin, en identifiant et en cartographiant les zones de restauration prioritaires, en élaborant des plans de mise en œuvre de la restauration, en collectant des semences indigènes et en renforçant les capacités pour la production de semis.

Pour notre part, nous nous sommes fixé pour objectif de restaurer 180 hectares de forêt indigène d’ici à 2026. Les avantages environnementaux de ces efforts de restauration comprennent la stabilisation des sols des forêts riveraines, l’amélioration de la qualité et de la disponibilité de l’eau et l’augmentation des zones d’habitat essentielles à la biodiversité locale. En renforçant la résilience de l’eau dans le bassin du fleuve Mogi Guacu, le projet Raizes contribue à améliorer les conditions écologiques, sociales et économiques de la région.